Bricolage lourd...

Je profite du répit dans le travail pour avancer, entre deux réunions, quelques travaux...

D'abord, j'ai coulé un béton en remplacement d'un ancien béton gelé avec le temps à l' entrée de fosse à fumier. Avec la mélangeuse, j'ai fait trois coulées, de 6 sacs de ciment chacune en 2 heures...

Plus long et plus compliqué, je refais complètement un local laissé à l'abandon sauf pour le ballon d'eau qui alimente tous les bâtiments d'élevage... Cela a commencé par le toit. Des tuiles avait gelé et il pleuvait dans le local. J'ai donc démonté le toit et changé les poutres qui n'étaient pas solides. J'en ai profité pour couler un béton léger sur le plancher pour l'isoler. J'ai ensuite recouvert. Depuis, je change fenêtres et portes ! En même temps, j'isole complètement les murs avec du béton cellulaire. L'endroit est à moitié enterré et est très humide. J'ai choisi de faire une isolation conséquente pour passer le local hors gel sans devoir chauffer. Enfin, outre l'humidité, je veux éviter rats et souris qui y étaient légion ces dernières années. La destination finale du lieu doit répondre à plusieurs objectifs. Un, avoir un endroit propre contigu à la stabul pour me changer pour intervenir sur les vêlage ou autre. Deux, installer une table et une chaise pour noter  et pouvoir y laisser à terme un micro pour saisir les interventions dans le troupeau. Trois, c'est surtout là  l'urgence, pouvoir stocker les malles des papiers indispensables pour l'exploitation. En clair avoir un local d'archives sec et dans lequel les papiers ne risquent rien, puisque nous en avons de plus en plus. C'est donc une réfection totale que j'ai entrepris. J'espère finir la semaine prochaine. Cela avance à petits pas...

                

Dès que c'est terminé, je reprendrai la grande modification de la stabulation servant aux naissances. Là, ce sera encore plus lourd. Et j'espère enchaîner ensuite sur d'autres projets de bâtiments....

Comments

[Olivier]

Je suis toujours stupéfait du courage qui vous anime et de votre capacité de travail, moi qui rechigne à terminer le ponçage de mon portail d'entrée que j'avais décider de repeindre l'été dernier :-\. On a l'impression que vous ne vous reposez jamais.